Le diplôme d’architecte diplômé par le gouvernement est le nom du diplôme d’études en architecture, délivré jusqu’en décembre 2007 et remplacé par le diplôme d’État d’architecte depuis.

C’est un diplôme professionnel français de troisième cycle universitaire (niveau Bac+6), qui se prépare au sein d’écoles d’architecture nationales.

Par abus de langage, il était commun d’appeler les diplômés “architecte DPLG”, bien qu’en France, le port du titre d’architecte est conditionné par l’inscription du professionnel à l’Ordre des architectes.

Obligatoire ou pas, il est difficile d’improviser dans le domaine de la construction. L’architecte est utile dès le premier m2 d’un projet parce qu’il dispose d’une expérience difficilement remplaçable. il sait utiliser au mieux les surfaces et tenir compte de toutes les contraintes techniques, il connaît le prix des matériaux et des travaux, il sait travailler sous contrainte et proposer plusieurs options en fonction de son client, il est en toute circonstance de bon conseil. Sa mission peut également comprendre la sélection des artisans et la conduite des travaux, ce qui facilitera le respect des budgets et des délais.

Par ailleurs, au sujet du recours aux services d’un architecte la loi française est claire :

Les particuliers ont l’obligation de recourir à un architecte pour édifier ou agrandir une construction à usage d’habitation dont la surface de plancher ou l’emprise au sol, après travaux, est supérieure à 150 m².

Les personnes morales (entreprises, sociétés civiles, associations, État, collectivités territoriales, etc.) doivent recourir aux services d’un architecte pour établir leur projet architectural quel que soit le projet de construction ou de travaux.

Les exploitations agricoles ont l’obligation de recourir à un architecte pour édifier ou agrandir une construction à usage agricole dont à la fois la surface de plancher et l’emprise au sol, après travaux, sont supérieures à 800 m². Il en est de même pour les coopératives d’utilisation de matériel agricole.

Les exploitations agricoles ont l’obligation de recourir à un architecte pour édifier ou agrandir une serre dont la surface de plancher et l’emprise au sol, après travaux, sont supérieures à 2 000 m². Il en est de même pour les coopératives d’utilisation de matériel agricole.

Parce que vous avez votre façon de vivre et vos goûts personnels.

Mon rôle est avant tout de vous écouter ; à partir de vos besoins, de vos goûts, de votre mode de vie, de l’évolution possible de votre famille, de votre budget, je vous aide à définir votre projet : disposition des lieux, utilisation judicieuse des surfaces, organisation des volumes intérieurs, aspect extérieur…

Ma vocation est de participer à tout ce qui relève de l’aménagement de l’espace et plus particulièrement de l’acte de bâtir.

J’interviens sur la construction, la réhabilitation, l’adaptation des paysages, des édifices publics ou privés, à usage d’habitation, professionnel, industriel, commercial, etc.

Proche et disponible, je suis le mieux placé pour vous assister dans toutes les opérations de suivi du chantier. Je vous guide dans le processus de construction et vous aide à transformer vos idées en réalité.

Ma prestation complète est facteur de qualité, de performances et d’économies sur la durée.

Pour la mission qui m’est confiée, et en fonction de la complexité du projet, je suis rémunéré exclusivement par mon client sous la forme d’honoraires définis et arrêtés par contrat, calculés au forfait ou au pourcentage, la plupart du temps situés entre 8 à 15% du montant des travaux pour une mission complète, c’est à dire du premier coup de crayon à la livraison des travaux.

À titre de comparaison, la rémunération des constructeurs de maison individuelle sur catalogue se matérialise sous la forme d’une marge qui se situe quant à elle entre 25 et 30% !
Les services d’un architecte ne sont donc pas un luxe mais un investissement rentable qui apporte de nombreux avantages et garanties.

Il faut garder à l’esprit que la valeur d’une excellente conception vaut plusieurs fois son coût.

Warren Buffett a écrit un jour : « Le prix est ce que vous payez, et la valeur est ce que vous obtenez ».

La rémunération de l’architecte et plus généralement des études de projet, représentent un faible pourcentage du coût de construction et un pourcentage encore plus faible du coût du cycle de vie du projet.

Une bonne conception et une bonne planification réduisent considérablement les coûts de construction, améliorent la beauté et la fonctionnalité d’un bâtiment et augmentent la valeur financière de l’ensemble du projet.

Le coût de construction est très variable selon vos demandes et vos attentes : type de construction, programme, niveau de finition, contexte, accessibilité, planning, etc.
Pour une maison individuelle neuve par exemple, il faut compter de 1500€ à 3500€ par m², et de 1000€ à 3000€ par m² pour une rénovation.
Pour moduler les coûts il existe plusieurs solutions : détourner, transformer, anticiper, utiliser le contexte et les contraintes, choisir les bon matériaux et les bonnes entreprises, ou bien encore faire une partie des travaux soit même.

J’assure à mes clients la qualité des travaux supervisés, l’assurance de payer le juste prix à chaque artisan et la sécurité dans chaque phase du projet. Mon seul rôle étant alors d’éviter à mes clients de subir le stress d’un chantier qu’ils ne maîtrisent pas seuls.

Depuis 2007 ma pratique du métier satisfait tous mes clients. Elle m’amène aujourd’hui à développer ma créativité et mon esprit de synthèse, à être innovant, audacieux et surtout enthousiaste dans mon travail.

Plus que jamais j’aime être à l’écoute de ceux qui me confient la réalisation de leur projet pour connaître, comprendre et satisfaire leurs attentes. Mon travail leur offre la personnalisation de leur habitat et l’assurance de trouver de l’harmonie et du caractère dans son aménagement.

Mon expérience du métier m’aide aujourd’hui à travailler avec les meilleures entreprises du secteur, connaître la réalité des coûts de construction et avoir l’expérience technique nécessaire pour superviser toutes les étapes d’un projet, de l’esquisse à la réception des travaux.

Enfin, chacun de mes clients représente aujourd’hui un excellent soutien pour mon activité. Leurs témoignages sur les réseaux sociaux renforcent ma crédibilité et contribuent à la construction d’une réputation solide.

CONTRAT
La signature du contrat de construction de maison individuelle est un renoncement de la part du client; il confie au constructeur le carnet de chèque (et la signature qui va avec) de l’argent de sa maison. Dorénavant, ce sera le constructeur qui décidera dans son propre intérêt, qui fait quoi, et à quel prix. Le but étant de réaliser une belle marge commerciale, située généralement entre 25 et 30% du montant du prix de vente.
Le client ne saura pas où va son argent. Le Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI) est un contrat très dangereux pour le client, car il remet le pouvoir de toutes les décisions à celui dont les intérêts sont divergeant des siens !
Le contrat d’un Architecte DPLG est rédigé en toute transparence dans le seul intérêt du client et de son projet. La rémunération de l’Architecte DPLG y est définie clairement.

PLANS
Le constructeur vend un produit sur catalogue et pas une maison sur mesure. Avec lui, c’est le client qui devra s’adapter à la maison et non l’inverse. Les aménagements sont standardisés et sans caractères. Le plan ne tient compte ni de l’adaptation de la maison au terrain, ni au paysage. Pour améliorer son bénéfice le constructeur préfère vendre 40 fois le même plan plutôt que de concevoir un projet unique pour son client.
Seul l’Architecte DPLG propose un projet avec des plans sur mesure, adaptés aux besoins de son client, en fonction des qualités d’un terrain et de son orientation. De plus, une maison conçue par un Architecte DPLG reste un meilleur investissement sur le long terme.

CHOIX DES ARTISANS
Une fois le contrat de construction signé, les intérêts financiers du constructeur et celui du client sont divergeant, le client en voulant légitimement « le mieux possible » pour le prix qu’il s’est engagé à payer, alors que le constructeur doit dorénavant trouver toutes les économies possibles (matériaux, quantités, sous-traitants) pour augmenter son bénéfice.
Seul l’Architecte DPLG accompagne et conseille impartialement son client sur le choix des artisans les mieux qualifiés pour le projet.

TRAVAUX
Le constructeur étant « juge et partie », il n’exerce pas un contrôle des travaux pour le compte de son client, mais bien pour son propre compte, exclusivement.
Le seul contrôle digne de ce nom est un contrôle indépendant, tel celui d’un Architecte DPLG.

Un dessinateur n’a pas suivi les études longues d’un Architecte DPLG, et ses années d’expérience professionnelles, aussi nombreuses soient-elles, ne feront jamais de lui un architecte.
Il n’est pas inscrit au tableau de l’Ordre des Architectes. Il n’a pas l’obligation d’assurance, ni celle de formation continue.

Un dessinateur ne saura que vous schématiser un plan relativement commun, alors que l’Architecte DPLG saura vous concevoir des espaces à la fois fonctionnels et dans l’air du temps, tout en prenant en compte les éléments techniques et les matériaux de l’ouvrage.

Un dessinateur n’est là que pour tracer des plans, alors que l’Architecte DPLG est plus impliqué dans la conception du projet. Son travail démarre par la conception et se poursuit jusqu’à la réalisation finale de l’ouvrage.

Seul l’Architecte DPLG peut concevoir de l’architecture, et vous permettre d’effectuer un meilleur investissement sur le long terme, d’autant plus si sa mission se prolonge pour la sélection des entreprises et la supervision du chantier.

La signature de complaisance est caractérisée dès lors que l’architecte a signé un projet qu’il n’a pas établi. Établir un projet (qu’il soit relatif à un permis de construire ou un permis d’aménager) c’est le concevoir. Il ne suffit pas de contrôler ou de «jeter un coup d’œil».

L’article 5 du Code des devoirs est clair : « Un architecte qui n’a pas participé à l’élaboration d’un projet architectural ne peut en aucun cas y apposer sa signature, ni prétendre à une rémunération à ce titre, la signature de complaisance est interdite. »

Cette pratique est illégale.

Les architectes qui s’adonnent à ce type de pratiques s’exposent à une traduction en chambre de discipline, une radiation du tableau et l’interdiction d’exercice de la profession et ses clients à une plainte pénale pour faux et usage de faux, 3 ans de prison, 45000€ d’amende, la saisie des biens et avoirs obtenus via ce délit, la démolition et remise à l’état initial du site à leurs frais entiers.